Autour de la fauneJe ne pouvais commencer cette rubrique que par un oiseau de mer, le plus populaires de Bretagne : j’ai nommé la mouette ! Et plus précisément, ici, le goéland, espèce de mouette qui se reconnaît à son bec jaune et sa tache rouge, ainsi qu’à ses pattes jaunes clair. La mouette quant à elle, a un bec plus court, plus pointu, rouge avec le bout noir, ses pattes sont également rouges. Le goéland tire son nom du breton « gwelan, ou gouelan », désignation d’origine celte et propre à cette espèce de mouette. Ce couple se ballade tranquillement sur le sable rose de Ploumanac’h, en Perros-Guirec.
Voici maintenant quelques uns de mes animaux domestiques : cherchez l’erreur, appelez le 9999 (1 € la minute) et vous gagnerez, comme à la télé, un micro-ondes chinois … si vous êtes tiré au sort !
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J’ai commencé par vous présenter le maître de notre maison : Saïko, un pékinois, notre compagnon depuis 7 ans. Je le photographie souvent et vous le reverrez. Ici, c’était pendant la neige de cet hiver. Vous avez vu la femelle d’un moineau domestique. Le mâle se différencie par des couleurs plus chatoyantes : un dessus de crâne gris, comme une tonsure de moine (d’où son nom), l’arrière de la tête rouge-marron et la gorge noire. Puis, ensuite, les hirondelles qui habitent nos cheminées. Elles partent avant l’hiver en Afrique du Nord pour nous revenir au début du printemps, après avoir fait quelques 4 à 6 000 kms ! Certaines espèces sont en voie de disparition (toujours ces pesticides qui détruisent leur nourriture : les insectes volants !) … Une anecdote : Mon épouse et moi prenions le soleil, assis sur un banc, un après-midi d’avril. Nous avons entendu un fort gazouillis qui se rapprochait de nous. Soudain, une dizaine d’hirondelles arriva, elles se mirent à tournoyer au-dessus de notre maison, puis, pour quelques unes, à faire des cercles au-dessus de nos têtes (les plus âgées, je suppose). Enfin, l’une d’entre elles entra dans l’arrière cuisine par la porte, fit deux ou trois tours dans la pièce pour ressortir et rejoindre ses compagnes. Au bout d’une demi-heure de fête, elles se posèrent sur notre toit : elles étaient revenues au bercail ! Le lendemain, elles ramassaient herbes, branchages et boue pour commencer leurs nids, dans les cheminées.
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